BALDOMERO ROMERO RESSENDI Sur sa vie on se contentera de peu d’informations. On sait qu’il est né à Séville en 1922, ville d’une grande importance dans sa création puisqu’il s’attacha à en dépeindre les archétypes emblématiques (toreros, danseurs de flamenco, paysanne andalouse …). On sait également qu’il n’était pas bien aimable et avait près d’uneLire la suite « 🎨 Quand la condition humaine n’a pas bonne mine : à la rencontre du peintre Baldomero R. Ressendi »
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*03 • La multiplicité de l’être
Au-delà du selfie Voici la proposition d’une série photographique basée sur la lecture du Loup des Steppes (Hermann Hesse, 1927), récit qui souligne merveilleusement et avec beaucoup de talent littéraire la multiplicité de l’être vivant. Selon Herman Hesse, nous n’avons pas en nous un loup solitaire et sauvage combattant sans cesse les conventions ou notreLire la suite « *03 • La multiplicité de l’être »
Du noir et du blanc, en photographie I
Il y a un certain temps que je me pose la question du Noir&Blanc en photographie. Non pas en cherchant craneusement à trancher la question de savoir s’il sert ou dessert la photo, et alors selon quelles règles… Non, ce qui me préoccupe c’est son omniprésence. Dans ce premier volet, je reviens sur les travers du recours facile au N&B par la biais d’un travail photographique sur l’intimité.
Le Palais Barolo
Qu’ont en commun le poète italien Dante Alighieri, les francs maçons, le béton armé et l’âge d’or argentin ? Difficile à dire si vous n’avez encore découverte le Palais Barolo ! Cet article propose de faire le voyage à Buenos Aires le temps d’une visite au sein de cet étonnant édifice.
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Depuis ma petite chaise de café je fus interpelée par le grand nombre de livreurs qui circulaient en ce jeudi après-midi de janvier. Tant de personnes commandent donc à manger depuis chez eux ? Ma première pensée s’apparente à » pas étonnant que beaucoup de jeunes soient attirés par la livraison, à voir tant de mouvement on s’imagine que c’est un business très lucratif où l’on ne s’ennuie pas ! » Puis, j’y pense un peu plus …
A mysterious Mexican monkey
The strange “Vasija del mono de obsidiana” (lit. “the vase of the obsidian monkey”) is one of the Aztec-Mexican masterpieces of the National Museum of Anthropology of Mexico City where it is exposed. We appreciate its appearance, but yet we know so little of its history as this captivating work continues to keep its secrets hidden.
L’ange de Mexico : la Samothrace mexicaine ?
Il ne paraît pas grand-chose d’autre qu’un agréable monument à visiter lors d’un passage à Mexico, et pourtant ! En plus de pierres, d’or, de marbre et de fer, cet « Ange » (qui n’en est pas un) est composé d’une incroyable richesse symbolique, historique, politique, sociale et paradoxale … que cela soit taillé dans ses pierres, enterré à ses pieds, caché dans ses recoins, ou tagué sur ses parois par des militantes féministes.
Cix Mugre: urban art is not only Banksy!
The artist Antonio Triana becomes “Cix Mugre” when he grabs his brush, his tattoo machine or some colors sprays. With his art, that may look like a great ayahuascan trip, he now covers walls of all around the world! Meet Cix !
In the land of Santa Claus, the Samis: the last indigenous people in Europe.
Living with his reindeer in Lapland, our dear red Coca-Cola Santa surely resembles the Samis (is he one of them?), this ancient and long despised people formed by the most commonly known as “Lapps”. But who are they? How many are they ? How do they live? Why were they despised? What remains of their culture? Let’s go and meet this people !
A Portuguese Folly ? Discover the Amazing Monserrate Palace!
Going through it is a real change of scenery: pastel-colored walls, corridors of arcades divinely carved in stucco lace, a central atrium under a dome of finely chiseled wood, tiling subtly decorated with volutes, all ordered according to a circular plan … everything participates to create an intimate and mysterious atmosphere. We find ourselves far from the pomp or the rustic, from Versailles and its grandiloquence or from the old country house. No, this palace has its own look, and its own aire, that of a getaway in the 19th century as romantic as oriental!