📚 Géniale Clarice Lispector

Qui ? « Je suis habituée à envisager le danger que signifie penser. Je pense et ça ne m’impressionne pas. Mais je ne suis pas intellectuelle ni rationnelle. Cela revient à utiliser surtout l’intelligence, et je ne fais pas ça : ce que j’utilise c’est l’intuition, l’instinct. Je vais voir un film et je ne chercheLire la suite « 📚 Géniale Clarice Lispector »

L’ange de Mexico : la Samothrace mexicaine ?

Il ne paraît pas grand-chose d’autre qu’un agréable monument à visiter lors d’un passage à Mexico, et pourtant ! En plus de pierres, d’or, de marbre et de fer, cet « Ange » (qui n’en est pas un) est composé d’une incroyable richesse symbolique, historique, politique, sociale et paradoxale … que cela soit taillé dans ses pierres, enterré à ses pieds, caché dans ses recoins, ou tagué sur ses parois par des militantes féministes.

Never without my Mate: the Latin peace pipe.

Argentines and Uruguayans go everywhere with a shoulder bag that protrudes a Thermos. We see one, then two, then ten, and then, during a meeting between friends, we see ourselves handing a kind of shaman’s gourd accompanied by a « tomas mate? » (which means “do you drink mate?”). No reference with your “mate” friend but a Spanish word that you should pronounce “matey”. The thermos actually contains hot water in which we brew the precious mixture of dried leaves (Yerba mate, or “matey” ) and which we then aspire with a metal straw; before recharging it with water and passing it to you direct neighbor. So yes, then you would have, « tomado maté ». This ritual is much more than a moment of relaxation or a tea time with friends! Taking a look at the culture of the Mate in South America is essential to understand how these countries work. When we talk about the “Mate culture”, we mean as well the arboricultural culture, which is a major contributor to the export economy and the promotion of regional products from the south American area, as the traditional culture, a know-how, social behaviors and a South American way of life.

So, let’s have a look at this thousand-year-old drink that seduced both the revolutionary Che Guevara and the Pope, or even Madonna and Maradona!

🖌️ L’art du fileteado porteño : petit nouveau de l’UNESCO

L’art du fileteado, né et exclusif à Buenos Aires, rejoignait en 2016 la calligraphie chinoise, le cercle de capoeira brésilien, ou encore le café à la Turque sur la liste du patrimoine immatériel de l’humanité sauvegardé par l’UNESCO… mais qu’est-ce donc que le fileteado, si peu connu des Européens ?

Jamais sans mon maté : le calumet de la paix latino.

Argentins et Uruguayens se baladent partout avec un sac en bandoulière dont dépasse un Thermos. On en voit un, puis deux, puis dix, puis lors d’une réunion entre amis, on se voit tendre une sorte de gourde de chaman accompagnée d’un « tomas maté ? » (tu bois le maté ?). Ce rituel est bien plus qu’un moment de détente ! Jeter un oeil à la culture du maté en Amérique du Sud est primordial pour comprendre ces pays. Quand on parle de « culture » du maté, on entend tout aussi bien la culture arboricole hautement contributrice de l’économie d’exportation et de valorisation de produits régionaux de la zone, que de la culture traditionnelle, de savoir-être et de savoir vivre à la sud-américaine. Coup d’oeil sur cette boisson millénaire qui séduit tant le révolutionnaire Che Guevara que le pape, en passant par Madonna et Maradona !